je me souviens ma mere quand j'ai été petite, ma mere-là est la chose que me manque le plus. où es-tu, mon amie joyeuse, plein de vie? tu as perdu toi-meme, c'est-à-dire, moi par default, par n'important de ta vie et de tes afects en plus. en plaffonant tes objectifs, en cachant tes sentiments de lui, en n'étant pas toi-meme, tu a joué un jeu maladif, tu as oublié comment tu es quand tu es hereuse.
maintenant, c'est trop tard pour te ratrapper, à cause de ta supérficialité, tu es une etre dénudé. le courant d'air erre parmi tes vides. comment ne-peut pas tu voir l'abime dans lequelle tu t'evisses, tant obscure?
c'est à toi la faute que je hais les gens, que j'ai un combat avec la génétique. peut-etre, je veux étudier la génétique pour me rendre compte comment on peut ne suivre pas la voeue des genes ...
j'étais un enfant, très influencable, sans ayant le pouvoir de décider et de ballancer mes sensations, mes croyances, car je ne peux pas dire pensés; tu m'as manipulé a ton gout, jamais as -tu rendu compte que je n'oublierai jamais mes hasards de l'enfance, combien de difficultés sont après , quand je suis cuit et apres j'ai epousé la forme de toi, si imparfaite , si laide.
je te méprise pour ca!
meme si je m'éloigne de toi jour après jour, de plus en plus, sans cesser ou déplorer, j'ai mal de toi comment tu étais alors!.